DEUIL D'UN PARENT, D'UN FRÈRE OU D'UNE SOEUR

La famille, on le sait, c'est sacré. La douleur est donc d'autant plus vive quand l'un de ses membres meurt. Non seulement l'unité de la cellule familiale est atteinte, mais il peut parfois arriver que ce décès réveille des tensions souterraines ou ravive des douleurs enfouies...

Citation inspirante
Les parents procurent un lieu unique sur cette planète, et ce lieu, c'est «chez nous», là où nous pouvons retourner, si besoin est, pour être aimé et sentir que nous sommes bien à notre place. Ce lieu, dans le coeur des parents et dans notre esprit, existe depuis le début de notre vie; il fleurit, transmis de génération en génération, depuis l'aube des temps. Il est là, que les parents soient bons ou non, attentifs ou indifférents, vieux ou jeunes, malades ou sains, logés dans la maison de la famille ou dans une institution. Ce lieu ne peut être imité. Il ne peut être recréé. Il n'y a qu'un lieu qui soit le véritable lieu que nous appelons «chez nous». Après la mort de nos parents, il disparaît. La perte inestimable de «ce lieu qui s'appelle chez nous», où qu'il se trouve et quelle que soit la qualité des événements qui s'y sont déroulés quand nos parents étaient en vie, est un thème récurrent dans de nombreuses évocations du deuil des parents.
~Alexander Levy, Surmonter le deuil de ses parents

LECTURES SUGGÉRÉES
~DE LESTRADE, Agnès. La vie sans moi. Verneuil-sur-Seine, Mic_Mac, 2010, 62 pages.
~HANUS, Michel. La mort d’un parent : le deuil des enfants. Paris, Vuibert, 2008, 289 pages.
~LEVY, Alexander. Surmonter le deuil de ses parents. Paris, InterÉditions, 2000, 182 pages.

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